L'auto-immunité et
les auto-anticorps dans l'EM/SFC

Étudier les différences potentielles dans les niveaux d’autoanticorps des récepteurs adrénergiques et muscariniques dans les échantillons de plasma et de liquide céphalo-rachidien (LCR) entre les patients atteints d’EM/SFC et les témoins sains, examiner pourquoi ces autoanticorps commencent à se manifester dans le processus de la maladie et comment nous pourrions avoir un impact positif sur ce processus avec diverses cibles médicamenteuses et des traitements de régulation immunitaire.

La capacité d’expliquer ces mécanismes sous-jacents pourrait fournir la validation nécessaire pour les traitements spécifiques en cours.

L’HYPOTHÈSE ET LA DESCRIPTION DE L’ÉTUDE

Le développement d’anticorps auto-immuns est une observation constante dans l’encéphalite herpétique, l’EM/SFC, la COVID longue et fournit une perspective sur les perturbations neurocognitives, les symptômes périphériques, le POTS, la douleur et d’autres cibles de ces auto-anticorps. On a observé précédemment que les auto-anticorps se liaient davantage aux récepteurs adrénergiques et muscariniques chez les patients atteints d’EM/SFC. On suppose que ces auto-anticorps pourraient faire partie de la pathogenèse de l’EM/SFC et des symptômes des malades.

CONCEPTION DE L’ÉTUDE

Les anticorps attaquent un virus

  • Étudier les différences potentielles dans les niveaux d’auto-anticorps des récepteurs adrénergiques et muscariniques dans les échantillons de plasma et de liquide céphalorachidien (LCR) entre les patients atteints d’EM/SFC et les témoins en bonne santé.
  • Combiner ces résultats avec les patients atteints d’EM/SFC et les groupes de contraste (y compris des groupes tels que les patients atteints de COVID longue, les patients atteints de COVID aiguë, les patients atteints de dysfonctionnement cognitif induit par la neuro-immunologie).
  • Évaluer les données pour identifier les différences potentielles et les sous-groupes de patients.