Mise à jour vidéo de Rob Phair, PhD : L’hypothèse d’un shunt de l’itaconate pour l’EM/SFC
Mise à jour vidéo de Rob Phair, PhD :L’hypothèse d’un shunt de l’itaconate pour l’EM/SFC Dans la continuité du partage de nos efforts de collaboration,
Programme de recherche en médecine personnalisée de précision pour l’encéphalomyélite myalgique / syndrome de fatigue chronique (EM / SFC)
L’Australie est l’un des principaux contributeurs à la recherche sur l’EM/SFC, utilisant l’application de la métabolomique et de la microbiologie pour étudier l’EM/SFC. Le Dr Armstrong a dirigé une grande partie de ces travaux et a poursuivi ses recherches sur l’EM/SFC en tant que chercheur invité à l’université de Stanford, tout en étant employé par l’OMF pour communiquer entre les centres de collaboration existants.
La collaboration de Melbourne pour l’EM/SFC cherche à développer une approche de gestion et de traitement de la maladie qui se concentre sur le patient individuel et sur la biologie qui sous-tend sa maladie. Leurs recherches viseront à unifier les voies biologiques de l’EM/SFC qui font que la maladie est la même pour tous les patients, tout en identifiant les aspects biologiques qui font que la maladie diffère d’un patient à l’autre.
Le docteur Chris Armstrong est surtout connu pour ses recherches utilisant la métabolomique pour observer les altérations biochimiques chez les patients atteints d’EM/SFC. Il a commencé son travail dans ce domaine à l’université de Melbourne, en lançant un projet de doctorat visant à appliquer la métabolomique à l’étude de l’encéphalomyélite myalgique/syndrome de fatigue chronique (EM/SFC) et a publié sa première étude de métabolomique sur l’EM/SFC dans le sang et l’urine en 2015.
Depuis lors, Chris a mis en place des efforts de collaboration pour appliquer la métabolomique à des expériences immunologiques sur l’EM/SFC, en observant comment le métabolisme peut être lié à la fonction des cellules immunitaires. Il s’est également concentré sur la recherche longitudinale dans l’EM/SFC tout en cherchant à étendre les capacités métaboliques dans le domaine de l’EM/SFC pour aider à rassembler différents groupes de patients.
des méthodes pour comprendre la biologie de l’individu atteint d’EM/SFC.
la compréhension de la maladie en approches de traitement pratiques.
la biologie unificatrice entre les malades atteints d’EM/SFC.
le développement de l’EM/SFC chez les enfants et les adolescents.
la biologie sous-jacente aux symptômes de l’EM/SFC.
des outils pour la recherche et le traitement de l’EM/SFC.
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L’étude vise à établir un protocole de recherche condensé et personnalisé qui peut être utilisé pour caractériser l’EM/SFC chez les patients individuels en ce qui concerne tous leurs aspects biologiques uniques, en interaction avec une maladie chronique complexe.
Ce projet vise à vérifier l’hypothèse de l’azote, selon laquelle les sous-produits nocifs du métabolisme énergétique, contenant de l’azote, s’accumulent plus facilement dans les cellules des patients atteints d’EM/SFC.
Étude de la motricité oculaire OBJECTIF DE L’ÉTUDE L’objectif de ce projet est de caractériser pleinement les changements de mouvements oculaires chez les personnes souffrant
Cette proposition vise à comprendre les mécanismes pathologiques de l’EM/SFC pédiatrique (13 à 18 ans).
Profils détaillés du protéome et du métabolome OBJECTIF DE L’ÉTUDE Collaborer avec les CRC de l’OMF à Uppsala et Melbourne pour établir une perspective globale.
L’objectif de cette étude est d’évaluer de manière générale les sous-ensembles de cellules B, leur métabolisme, leur viabilité, leurs récepteurs et leurs anticorps chez les personnes atteintes d’EM/SFC.
L’étude vise à établir un flux de travail analytique pour l’analyse des valeurs aberrantes dans l’EM/SFC et à développer un logiciel pour identifier rapidement ces anomalies potentielles.
Pour mener à bien ces projets ambitieux, le Dr Armstrong met en place des réseaux et des collaborations qui s’étendent aux États-Unis, au Royaume-Uni, à la Suède et à d’autres institutions australiennes.
Université de Melbourne, Australie
Christopher Armstrong, PhD
Paul Gooley, PhD
Neil McGregor, PhD
Natalie Thomas, PhD
Kathy Huang
David Ascher, PhD
Elisha Josev, PhD
Sarah Knight, PhD
Adam Scheinberg, MD
David Stroud, PhD
Université de Stanford, États-Unis
Ronald Davis, PhD
Robert Phair, PhD
Laurel Crosby, PhD
Julie Wilhelmy
Amit Saha, PhD
Layla Cervantes
Anna Okumu
Mike Snyder, PhD
Ryan Kellogg, PhD
Jaime Seltzer
Université d’Uppsala, Suède
Jonas Bergquist, MD, PhD
Massachusetts General Hospital, Etats-Unis
Ronald Tompkins, MD, ScD
Wenzhong Xiao, PhD
Université de Montréal, Canada
Alain Moreau, PhD
Open Medicine Foundation
Linda Tannenbaum
UC San Diego, États-Unis
Robert Naviaux, MD, PhD
Université d’Alabama, Birmingham, États-Unis
Jarred Younger, PhD
University College London, Royaume-Uni
Jo Cambridge, PhD
Université La Trobe, Australie
Sarah Annesley, PhD
Paul Fisher, PhD
Daniel Missailidis
Australian National University, Australie
Brett Lidbury, PhD
Alice Richardson, PhD
Monash University, Australie
Joanne Fielding, PhD
Meaghan Clough, PhD
Macquarie University, Australie
Gilles Guillemin, PhD
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