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Nouvelle publication d’Alain Moreau, PhD, et de ses collègues!

L’Open Medicine Foundation Canada est ravie de partager une nouvelle publication d’Alain Moreau, PhD, et de ses collègues : « Exploring the neurocognitive consequences of post-exertional malaise in myalgic encephalomyelitis » (Exploration des conséquences neurocognitives du malaise post-effort dans l’encéphalomyélite myalgique).

Cette étude montre l’impact du malaise post-effort (MPE) sur la perturbation de la cognition dans le contexte de l’encéphalomyélite myalgique/syndrome de fatigue chronique (EM/SFC), ainsi que la diversité des domaines cognitifs affectés chez les personnes atteintes d’EM/SFC. 

Cliquez ici pour lire la publication intégrale !Alin Moreau: Exploration des conséquences neurocognitives du malaise post-effort dans l'encéphalomyélite myalgique

 

Résumé de la recherche : Du bureau d’Alain Moreau, PhD, Directeur du Centre de recherche collaborative sur l’EM/SFC de l’OMF à l’Université de Montréal & Corrinne Leveau, Msc, auteur principal et étudiante en doctorat au Centre de recherche collaborative sur l’EM/SFC de l’OMF à l’Université de Montréal :

« Dans cet article, j’ai parlé des effets du malaise post-effort (MPE) sur les personnes atteintes d’encéphalomyélite myalgique/syndrome de fatigue chronique (EM/SFC). Notre équipe a mis au point un test standardisé d’une durée de 90 minutes pour induire un malaise post-effort chez les patients atteints d’encéphalomyélite myalgique/syndrome de fatigue chronique (EM/SFC) en utilisant une stimulation mécanique du bras à l’aide d’un brassard gonflable. Nous avons inclus dans notre étude des personnes atteintes d’EM/SFC et des personnes sédentaires en bonne santé. Les deux groupes ont subi une prise de sang et des tests cognitifs avant et après le test de simulation du MPE. 

Nos premiers résultats indiquent que les participants atteints d’EM/SFC ont subi des troubles cognitifs après le test du MPE, bien qu’une variation significative des réponses individuelles ait été observée. Cela nous a incité à diviser les participants en trois sous-groupes en fonction de leurs réponses cognitives. 

Ces sous-groupes correspondent à des microARN (miARN) spécifiques, qui sont de petites molécules régulant les gènes. Il est intéressant de noter que ces mêmes ARNm sont liés à d’autres troubles neurologiques, ce qui suggère leur rôle potentiel dans les fonctions cognitives. Nos recherches futures consisteront à rechercher d’autres miARN et d’autres molécules liées à divers aspects de la cognition (comme l’attention, la mémoire et les fonctions exécutives) dans le contexte de l’EM/SFC. Ces résultats contribueront à une meilleure compréhension de la maladie, en particulier de son impact sur le brouillard cérébral et d’autres types de troubles cognitifs. »

 


 

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